Une brise légère parcourait l’air. Discutée par le bruit déjà loin des voitures.
Petit espace en-dehors de la ville et pourtant si proche, espace des marges, des possibles.
Là, je pouvais partir, j’étais à la limite.
Ne bougeant pas, je m’abandonnais à la contemplation de deux mondes ne se comprenant pas.
Homme de frontière, je suivais son long.
Voir deux mondes est plus riche que de n’en parcourir qu’un.
Frontière de l’équilibre et de la rencontre de la nuit.
20 septembre 2007
Un soir en 2005
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